Mon histoire d’accident avec un enfant gâté (fils de Boualem et Sabiha CHAKER)

Un accident peut arriver même si vous penser que vous êtes en sécurité totale.

J’étais à la station de bus de Coopemad qui mène vers Alger.

Un gosse de 19 ans venant de Ain Benian allant vers club des Pins a pénétré du sens interdit d’ou sort les bus et m’a éjecté vers l’abri de bus me laissant inconsciente et mon oreille cisaillée et baigne dans une marrée de sang.

Son ami a fait évacué le 4X4 type TUCSON

La foule ont fait descendre le chauffeur, les témoins ne croyaient pas leurs yeux.

La protection civile de « Ain Benian » m’a évacué vers l’Hôpital de Bologhine « Bainem »

La police judiciaire de Bainem a informé le commissariat de Ain Benian, qui a cour tour s’est déplacé à l’Hôpital, mais hélas, ils n’ont pas fait d’enquête sur les lieux.

Faute de moyens de l’Hôpital, j’étais évacué par la suite au CHU de Bab El Oued pour subir une intervention chirurgicale.

Le soir même, Mr et Mme CHAKER se sont rendu au commissariat avec leur fils pour arranger les choses.

Deux (02) jours après on a reçu un agent de police à la maison nous proposant de régler l’affaire à l’amiable, et qu’on a que deux jours pour se décider, autrement on ne pourra plus déposer plainte.

Après une semaine, je me suis présenté au commissariat ou j’étais mal reçue par un des agents comme si j’étais l’inculpée, au point ou il m’a dit que je dois lui pardonner ou ….

Il s’est avéré qu’on lui a pas fait d’allotest, ni retirer son permis de conduire, et cela après intervention de ses parents.

Quelques jours après, j’ai reçu une convocation du commissariat, pour me dire que l’affaire est classée, bien sur puisque le dossier transmis au tribunal été pratiquement vide, malgré cela, ils voulaient que je signe le document.

Heureusement qu’on a relancé l’affaire avec Monsieur le Procureur de Chéraga, et le dossier a été repris.

Durant trois mois presque, chaque jour je me rendais à l’Hôpital pour les soins, et jusqu’à présent les séquelles apparaissent et mon mari n’a pas travaillé pendant ces trois mois.

Ce qui est désolant c’est qu’il n’y avait aucune assistance de la part des parents du l’enfant gâté, qui au contraire dès qu’ils ont su que l’affaire est classée, ont changé leur comportement, et sont arrivés à me raccrocher le téléphone au nez.

Heureusement que Dieux existe et qu’on a une justice.

NOTA : je suis la quatrième victime et que Dieux protège les suivants.

K.O